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le ventre de paris
Ce troisième tome se déroule principalement aux Halles centrales de Paris, un lieu décrit comme grouillant. Grouillant d’hommes, de femmes mais surtout, débordant de nourriture. Nous sommes en 1858.
Par définition, la nourriture y est synonyme de prospérité. Le manque de nourriture entraîne la pitié mais également la suspicion. Dès lors, Zola divise ses personnages en deux groupes que tout opposera au cours du roman : les gras et les maigres.
Si tu es bien gras, c’est que tu manges bien et donc, c’est que tes affaires vont bien. Généralement, on fait confiance à un gras. Un gras est forcément quelqu’un d’honnête.
Si tu es maigre, c’est que tu es un malfrat, un bon à rien. Quelqu’un de forcément malhonnête. Une personne rongée par les vices.
Parmi les gras de cette histoire, nous avons Quenu et Lisa, un couple de charcutiers vraiment prospères. Ils sont bien dodus, respectés. Tout va bien. Quand Florent, un maigre, et accessoirement le demi-frère de Quenu s’évade de Cayenne (où il a été injustement arrêté suite au coup d’état du 2 décembre 1851) et débarque chez eux, les choses se corsent. Que veut vraiment ce sac d’os qui, malgré les bons soins, n’aura jamais que la peau sur les os ?
Entre ragots, politique, légumes, viandes et rancœurs, Zola dresse le portrait de toute une petite communauté de marchants/commerçants mis à nu.
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